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84ème Jam Session autour de Ricky Ford, Gildas Scouarnec et François Ricard vendredi 22 septembre au Moulin du Grand Poulguin
84 Jams déjà !!
Et pour fêter la reprise nous retrouvons notre Ténor Sax :
Ricky Ford !
Voici sa bio :
Ricky Ford s’initie dans un premier temps à la musique en apprenant à jouer de la batterie. Influencé par le jeu du musicien Roland Kirk, il adopte définitivement le saxophone ténor en 1969. Alors qu’il se produit dans un club de Boston, le pianiste Ran Blake le remarque et le convainc d’approfondir ses connaissances musicales au New England Conservatory, une école privée de musique de Boston où il enseigne. En plus de la théorie musicale, Ricky Ford y apprend à jouer de la clarinette et du saxophone. Parmi ses enseignants figurent notamment Gunther Schuller et Jaki Byard qui lui offrent la possibilité d’effectuer ses premiers enregistrements en 1974.
Carrière
En 1974, le trompettiste Mercer Ellington l’engage pour intégrer l’orchestre de son père le Duke Ellington Orchestra. Après environ deux ans dans cet orchestre il remplace George Adams en rejoignant le groupe du contrebassiste Charles Mingus. Il quitte Mingus l’année suivante mais a effectué au cours de cette période quelques enregistrements avec le groupe en particulier les albums Three or Four Shades of Blue et Me Myself an Eye. En 1977, il se produit en tant que leader et enregistre son premier album intitulé Loxodonta Africana qui paraît cette année-là sur le jeune label new-yorkais New World. En 1979, Ford rejoint le quintet du batteur Dannie Richmond, un disciple de Mingus, avec lequel il collabore jusque 1981. Bien qu’il dirige principalement ses propres formations dans les années 1980, Ford se fait cependant remarquer par des collaborations notables : il est musicien et arrangeur dans l’orchestre de Lionel Hampton en 1981, l’année suivante au sein du groupe Mingus Dynasty avec en particulier deux tournées européennes puis surtout avec le groupe Ekaya du pianiste sud-africain Abdullah Ibrahim pour lequel il participera aux séances d’enregistrement de plusieurs albums et toujours sous la direction du pianiste à la bande son du film Chocolat.
Ricky Ford collabore également avec le batteur Beaver Harris et au cours des années 1990 avec le batteur Pete La Roca. Il enregistre aussi avec le pianiste McCoy Tyner en 1988, Steve Lacy en 1993. Depuis 1977 il enregistre régulièrement en tant que leader, notamment pour les labels Muse et Candid. De 1985 à 1996, il est artiste en résidence, donnant des cours à l’Université Brandeis à Waltham dans le Massachusetts. Bien que résident en France depuis 1996, Ricky Ford donne aussi des cours en Turquie de 2001 à 2006 à l’Université Bilgi d’Istanbul. Il organise également depuis 2009 un festival estival en France sur deux jours, le Toucy Jazz Festival situé dans l’Yonne. Depuis 2009, Ricky Ford collabore activement au sein de l’orchestre français Ze Big Band avec lequel il a sorti deux albums et avec des amis musiciens de la scène Jazz française comme Gildas Scouarnec.
Au début de sa carrière Ricky Ford s’adapte au swing de l’orchestre de Mercer Ellington puis enchaine avec Charles Mingus et Dannie Richmond, dans des styles plus variés. Il dirige ensuite ses propres groupes avec un jeu mêlant souvent bebop et jazz modal en revenant parfois au swing notamment au début des années 1980 avec sa participation au groupe de Lionel Hampton, aux côtés des musiciens Illinois Jacquet et Arnett Cobb. Le jeu de Ricky Ford n’est pas sans rappeler celui de Coleman Hawkins, Dexter Gordon, Stan Getz ou encore Sonny Rollins, c’est aussi « un soliste fluide et puissant ».
François Ricard, Batterie
Musicien reconnu par ses pairs, François Ricard s’inscrit dans la tradition du jazz qu’il découvre lors d’un concert d’Art Blakey.
Dès 1990, il fait le tour du monde avec le groupe de rap Soon E MC. De retour à Paris en 96, il fonde les Nuits Blanches du Petit Opportun avec Olivier Temime, Alexandre Tassel, et Baptiste Trottignon. Ils y côtoient les ténors du jazz – Luigi Trussardi, Eric Lelann, Jimmy Gourley,…
Aujourd’hui, il alterne les concerts avec Moïra Batz, Philippe Dardelle, Dominique Lemerle… avec des figures américaines comme Bonny Fields, Robby Marshall ou encore avec la jeune garde française Julien Alour, Samuel Lerner, Géraud Portal, Adrien Chicot,….
Gildas Scouarnec, contrebasse
Le musicien natif de Quimper qui a grandi à Châteauneuf-du-Faou (29), après une belle carrière à Paris lancée en 1989 est revenu en Bretagne. Depuis 2007, il développe concerts et Jam sessions à Spézet, Pont-Aven ou Quimper.
Ce contrebassiste de jazz Quimperois dont la famille est originaire des Montagnes Noires est – et a été – de tous les festival bretons: Jazz’y Krampouezh, Snap Jazz à Pont-l’Abbé, Jazz’in Rosko, Aprèm’Jazz Quimper Cornouaille, mais Gildas Scouarnec a aussi foulé les scènes jazz françaises et internationales pour accompagner Sunny Murray, Archie Shepp, Éric Le Lann avant de revenir en Bretagne en 2007, où il organise des jam sessions en Finistère. Il s’est même lancé récemment en solo à Ouessant avec la musique d’un spectacle écrit par Henry le Bal sur Robinson Crusoé avec le marionnettiste de Gouesnac’h (29) Gilles Martinet.
Gildas Scouarnec a lancé il y a 8 ans avec René Goaër (piano, saxophone), son ami depuis plus de 30 ans (qui a accompagné Didier Lockwood) au Moulin du Grand Poulguin à Pont-Aven (29) tenu par Jean-Marc Tanguy un amateur de jazz, des concerts suivis de jam sessions qui accueillent tous les mois des musiciens de tous niveaux.
Écoutez « Valse pour Margot« , une composition de Gildas sur son album « Jazz Unit 186 »
« Long Train Running » c’est le tube des californiens Doobies Brothers en 1973 qu’à choisi Gildas Scouarnec : toute la culture folk-rock ramenée par ses copains des États-Unis, alors qu’il jouait de la basse électrique à 16 ans en 1976-1977. Gildas joue en effet à cette époque à Châteauneuf-du-Faou avec 2 jeunes amis formés à la musique pop et dont le père était Breton et la mère Canadienne. Gildas fera alors avec eux bals et concerts, avant qu’ils ne se tournent vers le jazz-rock et lui vers le jazz.
Alors que Gildas Scouarnec découvre dans le grenier familial une contrebasse ayant appartenue à un musicien du groupe de son père, le jeune homme se met au jazz. Assureur et musicien, son père jouait dans les bals du tango, de la milonga et quelques gavottes au bandonéon avec son frère, musicien professionnel. Gildas Scouarnec se forme alors en 5 ans (au lieu de 10) dans les années 1980 à l’École nationale de musique (ENM) de Brest, avec Madame Renaut, dont le mari avait fait aussi des concerts avec son père.
Gildas Scouarnec jouera alors avec le guitariste breton Jacques Pellen et le pianiste Didier Squiban avec qui il partage alors l’admiration pour le pianiste américain Bill Evans. Avant de faire carrière à Paris dès 1989 et à l’international. Ce qui ne l’empêchera pas de jouer jazz au pays de la gavotte Dardoup au Printemps de Châteauneuf et en 1997 au Festival de Cornouaille à Quimper avec Pierrick Pédron et René Goaër au saxophones.
extrait de la 20ème Jam avec Ricky !!
Philippe Bestion Trio lundi 11 septembre au Moulin du Grand Poulguin
C’est un souffle nouveau qui anime la création en 2023 de ce trio jazz neuf et flamboyant.
Compositeur et pianiste, Philippe Bestion a créé un terrain de jeux propice aux plaisirs de jouer, de se retrouver et de partager son univers avec ses complices Julien Stévenin à la contrebasse, et Hugo Pottin à la batterie.
De l’héritage des grands, ils conservent le goût des harmonies, du lyrisme, et le restituent en une musique virtuose et stimulante.
De la musique moderne, ils retiennent l’exigence du son et les excursions esthétiques.
Intimistes ou bien euphoriques, leurs improvisations reflètent leur sens aigu de l’écoute, leurs compositions explorent des facettes multiples.
Ce trio de musiciens explore avec jubilation les émotions spontanées avec une complicité dionysiaque.
Philippe Bestion :
Philippe Bestion est pianiste et compositeur.
Dans les années 90, il écume les clubs de Jazz parisiens, évoluant avec les musiciens de cette scène exigeante et inventive. Il écrit et enregistre la musique du groupe «Redwhale», concrétisée par la sortie de deux albums, «Queeck egg» et «Mozol» auxquels participent Eric Lohrer, Guy N’sangue, Bruce Cherbit, Kenny Garrett, Mino Cinelu, Andre Ceccarelli, Randy Brecker et Pierre Olivier Govin. Le groupe part en tournée, qui s’achève par deux concerts au Bataclan.
Il collabore ensuite avec des artistes de variété française: en tournée avec Nicole Croisille ,en studio avec Pierre Bachelet pour le disque «la ville ainsi soit il», etc…
Sa carrière de compositeur de musique audiovisuelle chez Universal Music s’est depuis considérablement étoffée et il est désormais l’un des plus prolifiques créateurs nationaux et internationaux.
Une envie irrésistible de jouer sur scène à nouveau se concrétise lors de sa rencontre en 2019 avec Julien Stévenin. Rejoins par Hugo Pottin, il est animé d’un plaisir brut et d’un enthousiasme libéré de contrainte pour partager ses musiques et son talent.
Julien Stévenin :
Julien Stévenin, d’abord bassiste électrique, devient rapidement un contrebassiste reconnu.
Son parcours vers les musiques improvisées est riche et varié, grâce à des formateurs comme Ron Carter et Eddie Gomez.
Au gré des rencontres et des concerts, il s’affirme également comme un fidèle représentant des musiques du monde et des musiques populaires, de par son profond attachement à sa vie en Bretagne.
Dès lors, son activité ne cesse de s’intensifier, régulièrement en studio et en concert, il évolue dans les plus grands festivals (tournées aux USA, émirats arabes unies, Chine, Bornéo, Mexique, Australie, Turquie, Italie, Suisse, Belgique, Angleterre, Allemagne, Espagne, Écosse, République Tchèque, etc…).
Insatiable explorateur musical, il participe parfois à des concerts au sein de formations classiques, mais surtout il multiplie les excursions musicales dans les registres du jazz, des musiques actuelles, des musiques du monde, et des musiques populaires.
Attaché à l’improvisation et à la mélodie, il s’appuie sur sa solide maîtrise technique pour explorer toutes les facettes de son instrument, apprécié par ses camarades de jeux pour son attention et sa musicalité.
Hugo Pottin :
Hugo Pottin est un batteur animé par la passion des rythmes et de l’improvisation.
Musicien exigeant, il fait preuve de constance dans le développement de son langage personnel en étoffant régulièrement ses connaissances, notamment par le biais de nombreux stages.
Ses rencontres avec Steve Coleman, Magic Malik, Guillaume Orti, Stéphane Payen, Barak Schmool, Olivier Congar, ou encore Oumar Fandy Diop ont été déterminante dans sa personnalité musicale.
Musicien éclectique et curieux, son approche de l’instrument se nourrit de la musique indienne, africaine et brésilienne, d’un travail approfondi de la polyrythmie, ainsi que d’un goût prononcé pour les variations et les nuances.
Sa précision technique et son écoute en font un musicien reconnu pour ses qualités solides et son expressivité au service de la musique.
Ils ont partagés la scène avec eux :
Anne Pacéo, Laurent Coullondre, Médéric Collignon, Cyril Atef, Richard Bona, Paco Sery, Simon Goubert, Eric Barret, Christian Escoudé, Eric Le Lann, Jacques Pellen, Keyvan Chemirani, Sylvain Barou, Efren Lopez, Michel Delpech, Murray Head, Gérard Lenormand, Eric Lohrer, Guy N’sangue, Bruce Cherbit, Kenny Garreth, Mino Cinelu, Andre Ceccarelli, Randy Brecker…
Nota Bene :
- « Guest » été 2023 : concert avec Stéphane Guillaume : l’un des plus grands saxophonistes français, dont la réputation dépasse nos frontières.
- Les morceaux proposés à l’écoute sont le fruit de la toute première rencontre du trio au complet, au studio d’enregistrement Novomax à Quimper en mai 2023.
Ils matérialisent la naissance et le potentiel du Philippe Bestion trio. Ils sont exclusivement utilisés à titre promotionnel, et ne sont donc pas commercialisés, ni destinés à une diffusion publique.
84ème JAM SESSION autour de Gildas Scouarnec & René Goaër vendredi 22 septembre 2023 au Moulin du Grand Poulguin
Jam session du vendredi au Moulin !
La 84ème !!
JAZZ JAZZ JAZZ JAZZ JAZZ
Références du Jazz breton, Gildas à la contrebasse et René au piano et au sax invitent les musiciens jazz de tous bords à partager la scène du Moulin pour une Jam authentique et accessible où la bonne humeur est la règle.
Nos 2 super jazzman préférés reviennent au Moulin du Grand Poulguin.
Extraits de la 40ème !!
Extraits de la 20ème !!
Extraits de la 19ème !!
Extraits de la 10ème !!
http://www.renegoaer.eu/spip.php?article3
http://renegoaer.eu/spip.php?article10&id_document=23
https://www.youtube.com/watch?v=gvgTepGhXG8
https://www.youtube.com/watch?v=znTggpj-57c
https://www.youtube.com/watch?v=ALKConEdvdo dans l’émission TEMPO
https://www.youtube.com/watch?v=Q23FI9iXcus
Concert Mim ê bô mardi 8 août au Moulin du Grand Poulguin, 17h00 sur le déversoir !
Concert Dedenn Papa samedi 29 juillet 2023 au Moulin du Grand Poulguin
Et oui le duo père et fils reviennent au Moulin pour nous proposer leurs nouvelles interprétations, mélange de voyage celte et folk … NOONNN !
DU ROCK !!!!! Un peu garage, un peu métal, un peu celte mais plein d’amour, comme toujours.
….. Vidéos ….
La chaîne de Denwal
Belle première partie !
Concert Collec’ De Sons samedi 22 juillet 2023 au Moulin du Grand Poulguin

Vincent Guillouard (batterie, percussions)
Rémy Morlec (Chant, guitare, clarinette)
Quartet Breizh Mundo dimanche 9 juillet 2023 à 15h00
Concert Crazy Coconut Jazz Band samedi 8 juillet 2023
Le Crazy Coconut Jazz Band,
Une bande de cinq joyeux lurons sexagénaires déterminés à vous faire swinguer sur de bons vieux standards de Jazz New Orleans !
83ème Jam Session avec Donna Lorraine (vx), Gildas Scouarnec (cb) et Jean-Luc Roumier (g) vendredi 23 juin au Moulin du Grand Poulguin – 19h30
L’invitée exceptionnelle : DONNA LORRAINE
Grace à son style unique, Donna Lorraine fascine depuis des années le public amateur de jazz américain.
Chaque chanson ressuscite la grande tradition des légendes du jazz telles que Sarah Vaughan, Billie Holiday et Ella Fitzgerald.
Donna Lorraine puise aussi son inspiration dans des chanteuses contemporaines comme Stacey Kent, Nancy WILSON et Shirley Horn.
Mais Elle ne se contente pas de reprendre ses grandes ainées …
Evoquant l’élégance sensuelle d’un club de jazz du passé de son chant inimitable à la fois velouté et profond comme son phrasé unique ,. Donna plonge l’auditeur dans l’âme du Jazz.
Avant de s’installer à Paris en 2000, Donna a affiné, gagné sa technique et sa réputation de chanteuse de Jazz aux Etats Unis, notamment à Aspen au Colorado, l’une des stations de sports d’hiver les plus selectes du monde.
A Paris, Donna Lorraine est fréquemment invitée à participer à des concerts de Jazz sur les principales scènes de la Capitale comme le Bilboquet, le Lutetia, le grand hôtel Inter Continental, le Gramophone, le Petit Journal Montparnasse et aussi chez Papa Jazz Club de Saint Germain des Prés, au Loft, au Sunside, au Cercle Suédois, Café Laurent, La Péniche Marcounet …
Elle a aussi chanté à l’Ambassade des Etats Unis à Paris et pour les Marines… en Belgique, Hollande, Dakar Sénégal et aux USA bien sûr.
Grace à son style unique, Donna Lorraine fascine depuis des années le public amateur de jazz américain.
Chaque chanson ressuscite la grande tradition des légendes du jazz telles que Sarah Vaughan, Billie Holiday et Ella Fitzgerald.
Donna Lorraine puise aussi son inspiration dans des chanteuses contemporaines comme Stacey Kent, Nancy WILSON et Shirley Horn.
Mais Elle ne se contente pas de reprendre ses grandes ainées …
Evoquant l’élégance sensuelle d’un club de jazz du passé de son chant inimitable à la fois velouté et profond comme son phrasé unique ,. Donna plonge l’auditeur dans l’âme du Jazz.
Avant de s’installer à Paris en 2000, Donna a affiné, gagné sa technique et sa réputation de chanteuse de Jazz aux Etats Unis, notamment à Aspen au Colorado, l’une des stations de sports d’hiver les plus selectes du monde.
A Paris, Donna Lorraine est fréquemment invitée à participer à des concerts de Jazz sur les principales scènes de la Capitale comme le Bilboquet, le Lutetia, le grand hôtel Inter Continental, le Gramophone, le Petit Journal Montparnasse et aussi chez Papa Jazz Club de Saint Germain des Prés, au Loft, au Sunside, au Cercle Suédois, Café Laurent, La Péniche Marcounet …
Elle a aussi chanté à l’Ambassade des Etats Unis à Paris et pour les Marines… en Belgique, Hollande, Dakar Sénégal et aux USA bien sur.
Les musiciens :
Duo formé par Gildas Scouarnec (contrebasse) et Jean-Luc Roumier (guitare). Les deux musiciens se connaissent par cœur. Ils se fréquentent depuis plusieurs décennies. On doit à Gildas Scouarnec le groupe Jazz Unit 186, né à la fin des années 1990. Et de multiples collaborations, avec notamment de grosses pointures américaines comme Archie Shepp ou Sonny Simmons.
Jean-Luc Roumier a étudié la musique en autodidacte. Les influences de Wes Montgomery et du pianiste Bill Evans lui ont apporté une approche harmonique et technique très personnelle de son instrument. Installé à Paris en 1995, revenu dans sa Bretagne natale il y a peu, Jean-Luc Roumier fait partie des accompagnateurs recherchés. On a pu l’entendre entre autres avec Alain Jean-Marie, Giovanni Mirabassi, Donna Lorraine Verazo.